Premières critiques

marcel aymé

J’attends, fébrile, le premier avis de ma future potentielle éditrice sur ce que je lui ai fait parvenir samedi après-midi (pitch et début du roman). Le démon du doute refait surface. Si elle n’a pas répondu de suite, c’est mauvais signe (à aucun moment cette jeune femme n’a le droit d’être en week-end prolongé).

J’ai fait lire mon travail à Alexandre, mon époux, et à ma grande fille.
Mon mari a comparé ma première page à du Marcel Aymé (c’est dire la haute estime qu’il a eue pour moi à la première page) par sa mise en situation rapide et la nostalgie qui s’en dégageait. Puis il a fait une drôle de tête (je crois qu’il n’a jamais lu d’auteur du 21ème siècle…).
Quant à ma progéniture, elle m’a tout bonnement lancé que cela manquait d’action parce qu’il n’y en avait pas effectivement pendant deux phrases de quatre lignes.

Je me demande si je ne dois pas attendre un peu avant de confier mon imagination à l’appréciation de quiconque…

8 commentaires sur “Premières critiques

  1. Je n’ai jamais lu Marcel Aymé donc je n’ai aucune idée du style de ton texte … Mais ça doit être bien 😉
    En ce moment, c’est le 1er roman de Chupa que j’écoute (oui, elle me le lit car si je devais le lire, je crois que ma rétine se décollerait … ) et comme elle y met l’intonation je trouve ça plutôt chouette 🙂 En tout cas, je l’encourage

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  2. Aaaaaah mais pourquoi ces fucking weekends prolongés heeeein ? Bon allez je suis sûre tu vas tout déchirer ☺ et puis j’ai de la tendresse pour les Dumas…🙌 #hautslescoeurs#expression#vintage

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  3. Oh Marcel Aymé, la Vouivre a bercé mon enfance franc-comtoise.
    Et le père Dumas était un sacré gourmand.
    J’additionne une Colette.
    Je retiens un Dodin-Bouffant.

    NON !

    SI !

    Un livre de cuisine.

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